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Recherche de mentot pour financer mes études

Le 03/05/2016 à 18h28, demande d'aide de HOSHEA Theo
Je me nomme Beloved Josué DEGLO, j’ai 18 ans et je suis étudiant en licence 1 à la Faculté de Droit de l’Université de Lomé. J’ai toujours manifesté le désir de faire une brillante carrière dans la sphère diplomatique, et devenir ainsi un diplomate de haut standing comme Koffi Annan, Boutros Boutros Ghali, ou encore Edem Kodjo. Aussi prévoyais-je faire des études de Sciences Politiques ou de Relations Internationales. Mais faute de moyens financiers, de conseils et de bourse d’étude à l’étranger, j’ai opté pour le Droit Public, en espérant toujours tirer mon épingle du jeu. Mais sans vous mentir, le 1er semestre a été pénible pour moi, et ce n’est qu’avec la grâce de Dieu que je me suis sorti de cette ornière. En fait, j’ai passé ces 8 dernières années au Petit Séminaire Saint Pie X d’Agoènyivé, où malgré tout, les conditions étaient assez réunies pour me permettre d’avoir de bons résultats. Mes bulletins et relevés de notes en disent long sur mon bagage intellectuel et ma force de frappe. De même, tous mes anciens camarades, formateurs et professeurs, pourront corroborer cela, même si aujourd’hui j’ai quitté le Séminaire. Ayant opéré un changement suite à divers évènements pour me retrouver à la maison, je peine à retrouver mes automatismes, mes sensations d’antan. Comment cela est-il possible ? La réponse est toute simple. En plus des conditions déjà difficiles sur le campus, je fais face à une situation délétère à la maison : conditions d’études pas réunies, manque criard de moyens pour se procurer les documents et parfois même se déplacer, ambiance psychologiquement rétrograde. Je traverse des moments difficiles, des heures de détresse où mon cœur est près de flancher. L’angoisse me ronge ; je songe à mon chagrin et à ma peine. Les yeux voilés d’un nuage où ne perce plus nul espoir, je chemine dans la vallée de l’incertitude, pris entre la peur de perdre mon pari intellectuel et la rage de vaincre. Rassurez-vous, mon intention n’est nullement de me larmoyer ou de m’étaler en plaintes. Loin s’en faut. D’ailleurs Alfred de Vigny disait : « Pleurer, gémir, prier, c’est également lâche ». J’ai compris avec le temps qu’il ne faut pas afficher trop de superbe dans la honte, ni trop d’humilité dans l’honneur. J’ai compris que dans la vie, au lieu de perdre son temps à regarder par le petit bout de la lorgnette, ou à subir impuissamment les événements, courant ainsi le risque d’obérer son avenir, il faut avancer. Mais comment avancer, si les difficultés rédhibitoires, qui s’amoncellent donnent l’impression d’un "Echec et mate" ?
Tout comme le bon grain aura du mal à se développer sur une mauvaise terre, mon acuité intellectuelle en prend un sérieux coup actuellement. Je me connais, et je sais que je peux faire de grandes choses ; je ne me sens pas encore à bout de ma capacité ; j’ai de grandes ambitions, de vraies envies et je peux encore réaliser des exploits. Mais hélas, ce sont les moyens qui me manquent et qui m’imposent une limite. Je viens donc par cette présente lettre vous supplier de bien vouloir accepter être mon mentor dans mes études, à travers votre soutien moral et matériel. Je vous demande juste de croire en moi, d’avoir pitié d’un pauvre jeune, à l’intelligence assoiffée, aux ambitions et intentions pures, qui n’a besoin que d’aides et de conseils pour évoluer. Pour quelqu’un qui a toujours su jusqu’alors se contenter de ce qu’il a, je ne demande que les conditions minimales pour ma réussite.
Je ne vous connais pas personnellement, tout comme vous ne savez pas grande chose de moi, mis à part tout ce que je viens de dire. Et pourtant, j’ai l’outrecuidance de vous demander votre aide. Mais soit ! Pour parler un tout petit de moi, je dirai tout simplement que sur le plan moral, le fait d’avoir passé huit années au Petit Séminaire me donne du crédit ; sans être narcissique, je dirai tout de même que je suis d’une bonne moralité et d’une grande probité. En ce qui concerne le travail intellectuel, je laisserai mes bulletins et relevés de notes, ainsi que les cadres du Séminaire parler à ma place. Aussi vous serai-je gré de me donner l’opportunité de venir discuter avec vous et vous montrer mes divers résultats.
Je suis conscient que j’ai été très prolixe, mais cela n’est pas seulement dû au fait que j’ai de la faconde, mais également, parce que je voudrais vous donner toutes les raisons suffisantes pour daigner me venir en aide..
Dans l’attente d’une suite favorable à ma requête, je vous prie d’agréer l’expression de ma déférente considération.
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