Mon projet de création de la JAPTRAQ

Je suis auteur dans Harmattan et Edilivre (Paris). J'écris pour contribuer à l'éducation de la jeunesse du monde d'une manière générale et d' Afrique notamment. C'est elle (la jeunesse) qui est l'avenir de l'humanité. Et l'humanité ne méritera dans l'avenir que les citoyens qu'elle aura elle-même façonnés. Les pays d'Afrique aussi. C'est dans la perspective de produire des écrits que nous voulons faire lire aux jeunes en vue de modeler leurs esprits, de les disposer psychologiquement à la coopération, à la cohabitation dans la tolérance et la paix sur la planète-terre, que nous nous proposons de créer la JAPTRAQ (Jeunesse d'Afrique pour sa transformation qualitative: la transformation qualitative et de l'Afrique et de sa jeunesse) qui sera une ONG dont le but sera de mettre à la disposition des jeunes de nos milieux scolaires ou professionnels nos documents qui abordent des thèmes qui sont d'actualité. Ils contiennent de façon sporadique de nombreux conseils aux jeunes qui constituent la qualité du monde avenir. Peuvent-ils donc avoir accès aisément à ces documents ? Nous reconnaissons que déjà, nos jeunes ne s'intéressent pas beaucoup à la lecture. Mais devons-nous les abandonner dans cette situation? Non. Nous pensons que chaque maillon de la chaîne éducative devrait jouer son rôle. En clair, nous avons fait publier dans Harmattan-Paris "De l'éducation morale de la jeunesse..." et "Les métis de ma mondialisation"; et dans Edilivre "Le non de Ntomba". Les sujets abordés dans ces documents peuvent permettre à nos jeunes d'améliorer leurs attitudes et comportements face à certains enjeux socio-culturels. Si nous décidons d'organiser des tables-rondes ou des causeries éducatives dans nos milieux scolaires seulement et de laisser trois de ces documents dans les bibliothèques scolaires, il va de soi que l'aide sollicitée sera consistante. Mais alors nous voulons opter pour des dédicaces en vue de procéder à la diffusion des idées. Jusque là, notre cible ne sera pas bien atteinte. Peut-être faudrait-il envisager les deux possibilités si vous trouvez ma demande pertinente. Nous voulons aller même dans les représentations diplomatiques africaines, en vue d'expliquer le bien-fondé de notre projet qui ressemble au travail de fourmis. Prière d'accorder une suite favorable à notre demande. Merci.