Le schéma actantiel de l'oeuvre le village de la honte comportant un destinateur (émetteur), un objet (objectif), un destinataire (récepteur) ainsi qu'un adjuvant (aidant) et un opposant (adversaire).
Kodongo, surnommé l’enfant-adulte à cause de sa curiosité et de son raisonnement. Il est fils du chef de Kodara. Kodongo, décide d’aller sur la lune pour voir comment le monde se porte (p14). Le prince de Kodara eu cette idée d’aller voir la lune après avoir entendu un adage qui dit que ‘’le chat a attrapé la lune’’, juste pour décrire un éclipse solaire. En dépit des conseils de sa mère et son père, le roi Peladio afin qu’il abandonne cette idée, le jeune Kodongo était décidé à effectuer ce périple. Kodongo, était âgé de cinq ans. Son âge ne sera pas un obstacle dans cette quête du savoir poussé par la curiosité. Sous l’œil de ses parents, le jeune Kodongo entame son voyage en vue de retrouver la lune.
Dans son voyage, l’enfant-adulte comme surnommé, Kodongo entra dans un premier village du nom de Nabondala, où les us et coutumes étaient d’une bizarrerie. Ensuite, Gopanledouo, deuxième village rencontré par Kodongo lors de son périple. Ce village aussi affiche une tradition plus étrange. Puis un troisième village du nom de Nadoleupleu. Banasso, le quatrième village et enfin Nagalidou. Le passage de Kodongo dans ses différents villages étaient un ouf de soulagement pour les habitants, car il apportait des solutions aux problèmes présent. Tel un jeune sage Kodongo, fils du roi de Kodara, résolu des discordes au niveau des hommes qu’au niveau des animaux. Après un lieu, le jeune continuait son chemin a la quête de la lune qu’il ne trouvait toujours pas.
Malgré sa sagesse et son raisonnement, Kodongo ne pouvait satisfait cette fois-ci à sa curiosité qui était d’aller sur la lune. Car nul ne connaissait véritablement où la lune se repose.
L’auteur, Soro Guéfala ; sans être un obstacle aux us et coutumes, a mis a nu certaines pratiques tel que le mariage forcé. Exemple du mariage de la jeune Paliény au dieu Tangbalé, qui a conduit à la mort de Paliény et de sa mère Omagnan, par un suicide. (P71-74 chapitre 3). L’excision, la phallocratie et les violences faite aux femmes, sous la tutelle des us et coutumes, mettant la femme au second rang ; son des réalités que l’auteur pointe du doigt ; comme suite : « Après que Solo est battu sa femme Toumafa à sang très tard dans la nuit, un homme battait férocement sa femme » (P106). A travers les résolutions des problèmes par Kodongo, le personnage principale ; Soro Guéfala prône des valeurs atemporels comme le vive ensemble, la tolérance, la solidarité et l’égalité du genre.
Tant de terme fabuleux traités sous divers épisodes, font de ce conte un chef-d’œuvre. Pour agrémenter son récit de ficelle littéraire, l’auteur utilise un style courant qui permet à tous lecteurs de comprendre ce conte. L’égalité du genre, la solidarité, la réconciliation… son des réalités d’actualité. Et l’auteur dans une architecture littéraire a su en parlé par son ouvrage.
Le 27/09/2020 à 17h03
Salut j'aimerais connaître qui sont les adjuvant et les opposants dans le roman le village de la honte
Le 27/09/2020 à 17h05
J'aimerais connaître les adjuvant et les opposants dans le roman le village de la honte
Le 14/10/2020 à 23h38
Bonjour j'aimerais connaître le schema actanciel
Le 25/01/2021 à 13h57
J'aimerais connaître les adjuvant, les destinateurs et les opposants dans le roman le village de la honte
Le 13/11/2023 à 00h37
J'aimerais connaître le schéma actantiel de l'œuvre Le village de la honte
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